Aux fondements de la pensée chinoise

Conférences

Yi Jing, Classique des Changements aux fondements de la pensée chinoise

Acupuncture, diététique, Tai Ji Quan, calligraphie, cuisine, il n’est aucun art chinois qui ne s’y réfère, les Chinois depuis toujours se sont servi de Yin-Yang pour comprendre et expliquer, organiser et agir. Mais pour nous, comment entrer dans ce mode de penser par deux, caractéristique de Yin-Yang et issu du Yi Jing?

Avec le Yi Jing, le Livre des Changements, berceau du Yin-Yang, cet étonnant manuel d’aide à la prise de décision a, depuis l’Antiquité, été considéré par les Chinois comme le plus importants de leurs classiques se présente sous la forme d’une sorte de répertoire de 64 « situations-types », ramenées à leur structure énergétique, analysées en termes de Yin-Yang et décryptées dans la perspective de leur évolution probable, en fonction de l’incessant changement caractéristique du mouvement même de la vie.

Yin-Yang, Clef de Sol du penser Chinois

Yin-Yang est presque devenu un mot français. Mais que signifie-t-il vraiment ? On ne peut guère avancer dans la perception et la pratique des arts physiques chinois sans approfondir Yin-Yang.

Mais comment intégrer ce concept aussi étranger à notre mode de pensée ? Comment comprendre, au sens latin du mot cum prenderer : « prendre en soi », s’approprier Yin-Yang ? En sortant de la perspective occidentale qui n’y voit qu’une répartition fixe et stérile en deux genres, en découvrant pourquoi ce binôme a été choisi par l’esprit chinois pour être l’emblème de la continuelle alternance qui, à l’image des saisons, anime tous les aspects du vivant.

Yin-Yang, le penser par deux

Yin-Yang est presque devenu un mot français. Mais que signifie-t-il vraiment ? On ne peut guère avancer dans la perception et la pratique des arts physiques chinois sans approfondir Yin-Yang.

Mais comment intégrer ce concept aussi étranger à notre mode de pensée ? Comment comprendre, au sens latin du mot cum prenderer : « prendre en soi », s’approprier Yin-Yang ? En sortant de la perspective occidentale qui n’y voit qu’une répartition fixe et stérile en deux genres, en découvrant pourquoi ce binôme a été choisi par l’esprit chinois pour être l’emblème de la continuelle alternance qui, à l’image des saisons, anime tous les aspects du vivant.

Confucius, d’hier à aujourd’hui

Confucius a dédié sa vie à l’instauration d’un idéal : l’amélioration constante de soi-même au le seul but de faire baisser le niveau d’agressivité dans les rapports entre les humains. Et ce qui rend son message si juste aujourd’hui tient au fait que l’époque où il vivait : le 5° siècle avant l’ère commune, ressemble beaucoup à la nôtre : En effet, jadis en Chine comme aujourd’hui sur toutes les terres du continent eurasien des bouleversement technologiques rebattent les cartes du contrat social.

Les Taoïsmes

L’une des méprises la plus répandue à propos du Taoïsme, consiste à en parler au singulier. La réalité de cette école de pensée, caractéristique de la culture chinoise, est sa multiplicité. Il existe un Taoïsme chamanique, un Taoïsme lettré, un Taoïsme religieux, un Taoïsme martial. Au cours de cette conférence en images, Cyrille Javary entre-ouvrira pour nous l’éventail de toutes ces formes différentes du Taoïsme qui, apparues successivement au cours de l’histoire chinoise, y perdurent simultanément aujourd’hui.

À quoi servent les trigrammes ?

Apparus à différents moments de l’histoire du Yi Jing, attribués à différents personnages, certains emblématiques, d’autres mythologiques, utilisée pour leur pouvoir organisateur dans de multiples domaines où ils prennent alors une signification bien différente de celles qu’ils ont dans le Yi Jing. Au cours de cette conférence en images, Cyrille Javary, après avoir précisé les deux organisation des trigrammes et montré différents ordres aberrants, précisera la signification de chaque trigramme dans le cadre du Yi Jing, et leur utilité dans la juste perception des hexagrammes.

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